. Cicéron, Natura deorum, 1, 97 : « simia quam similis turpissima bestia nobis

H. W. Selon and . Janson, 239-240) quelque érudit du XIIe siècle a dû ajouter le singe comme attribut du goût et l'araignée comme attribut du toucher à la triade transmise par Pline (Histoire naturelle, X, 69) : l'aigle pour la vue, le vautour pour l'odorat et la taupe pour l'ouïe. Une chose est sûre : la série des cinq animaux figure dans le livre, Apes and Ape Lore in the middle Ages and the Renaissance, 1952.

L. Marin, Utopiques : jeux d'espace, op. cit, p.231

H. Pline, L. Xxxv, .. Peinture, and . Croisille,

P. Dauzat, Les Belles Lettres, « Classiques en poche, vol.36, pp.60-61, 1997.

A. Prévost, L. De, and T. More, , p.510, 1978.

N. S. Morgan, « Le petit singe cercopithèque mangeur de bibliothèque, Moreana, vol.31, p.142

. «-hic-tam-taetricus and . Est, ut non admittat jocos, hic tam insulsus, ut non ferat sales ; tam simi quidam sunt, ut nasum omnem velut aquam ab rabido morsus cane reformident » (40). J'ai modifié la traduction de Marie Delcourt pour conserver l'image du sel (sales)

, « Quin in re medica quoque sodalis meus Tricius Apinatus advexerat secum parva quaedam Hippocratis opuscula, ac Microtechnen Galeni, quos libros magno in pretio habent