P. Beaurepaire and . Stettin, Varsovie et quelques autres lieux. La correspondance de Jacques Pérard, pasteur, académicien, franc-maçon, journaliste et bibliophile, La Correspondance et la construction des identités en Europe Centrale, vol.15, pp.237-250, 2013.

P. Beaurepaire, «. "j'étais-trop, and . Communicatif, Jacques Pérard (1713-1766) un Européen au siècle des Lumières, pp.175-185

. Sur-les-alétophiles, J. Voir-notamment, and . Bronisch, Der Mäzen der Aufklärung. Ernst Christoph von Manteuffel und das Netzwerk des Wolffianismus, p.147, 2010.

V. Sur-l'activité-maçonnique-de-pérard, . Beaurepaire, and . Freimaurer, Fürstliche Protektion, Hoflogen und hugenottische Netzwerke » [Francs-maçons : Parrainage princier, loges de cour et réseaux huguenots, Friedrich der Große in Europa. Geschichte einer wechselvollen Beziehung, vol.II, pp.97-111, 2012.

B. Leyde and . Universitaire, , pp.23-1742

S. Jordan and J. Häseler, Ein Wanderer zwischen den Welten, pp.1700-1745, 1993.

, Le journal de voyage qu'il semble avoir tenu n'a pas été retrouvé à ce jour. abîmés, comme ils sont assurés, la perte ne sera pas grande à ce que j'espère. Je regrette surtout le Bacon et les estampes que vous m'aviez rassemblées avec tant de bonté

. Bibliothèque-nationale-de-france, Département des Manuscrits, manuscrits italiens, vol.512, pp.74-75

B. Leyde and . Universitaire, , pp.23-1736

B. Leyde and . Universitaire, , pp.5-1738

J. Niceron, Mémoires pour servir à l'histoire des hommes illustres dans la république des lettres, avec un catalogue raisonné de leurs ouvrages, vol.44, pp.1727-1745

A. H. De-sallengre, , pp.1715-1717

H. Basnage-de-beauval, Histoire des ouvrages des savans, pp.1687-1709

, Note manuscrite de Pérard, sans date, recto-verso

M. De-mauclerc, Elle finit alors mais ce fut pour recommencer sous le nouveau titre de Journal d'Allemagne, etc. de l'impression duquel le Libraire Beauregard se chargea. Ses lenteurs nous rebutèrent, p.45

, Pérard lui-même, pourtant longtemps plus conciliant que ses confrères par rapport à Beauregard

, Beauregard de vous remettre de ma part les quatre parties du Journal Littéraire, je ne sais s'il l'aura 41 Journal des Sçavans, octobre 1772, pp.8-9

B. Leyde and . Universitaire, , vol.2, pp.14-1744

B. Leyde and . Universitaire, Lettre de Pelloutier à Marchand, vol.2, pp.30-1747

, Il s'agit en fait de parties

«. Avertissement, Juillet, août et septembre 1759, tome vingt-cinquième, première partie, A Amsterdam, Nouvelle Bibliothèque Germanique, ou Histoire littéraire de l'Allemagne, de la Suisse et des Pays du Nord, par M. Samuel Formey

, Je lui ferai les mêmes conditions qu'ont observées Humbert et Beaur[egard] et dont la principale est que le journal est payé 125 florins par partie, argent comptant ou 125 en livres et 30 exemplaires pour les journalistes. Je voudrais bien lui promettre de prendre toujours mon paiement en livres, s'il voulait agir avec moi comme entre libraires. Pour l'exactitude et la promptitude des envois, il pourrait y compter, et mes soins pour rendre ce journal intéressant et curieux ne seraient point épargnés. Grâce à Dieu je travaille fama et non fama et en conséquence, je n'épargnerai rien pour le soutenir. J'ai arrêté à Göttingen le célèbre professeur Haller pour les extraits de médecine, de chirurgie, d'anatomie et d'histoire, Je suis enfin las de ses négligences et veux rompre avec lui, s'il ne s'amende. Ayez la bonté de lui rendre ce billet, et d'avoir la main à l'extradition des manuscrits à moins qu'il ne mette incessamment sous presse, vol.46

. On-le-voit, Il faut d'ailleurs rappeler que les critiques adressées aux libraires constituent alors un véritable lieu commun de ce type de correspondances, et Marchand lui-même en dit beaucoup de mal. En revanche, le texte de Formey précise que Pérard, succédant à Mauclerc à la codirection du Journal littéraire d'Allemagne, future Nouvelle bibliothèque germanique, est à l'origine du choix d'un nouveau libraire, Pierre Mortier qui devait donner plus de satisfactions : « Monsieur de Mauclerc vint à mourir sur ces entrefaites, en 1742, et je crus le Journal enseveli avec lui. M. de Perard, collègue du défunt, engagea le Libraire d'Amsterdam, Pierre Mortier, à le recommencer sous le titre de Nouvelle Bibliothèque Germanique, et à le faire paraître régulièrement tous les trois mois. Nous travaillâmes ensemble sur ce pied, M. de Perard et moi, aux cinq premiers volumes ; après quoi il me céda l'entière propriété du Journal et j'y mis mon nom au commencement de 1750, Beauregard est l'objet de vives critiques et sans le dédouaner pour autant, on peut penser que Formey déçu du travail du libraire de La Haye sur les périodiques, n'hésite pas à lui faire porter la responsabilité de toutes sortes de déconvenues éditoriales, p.47

B. Leyde and . Universitaire, , pp.14-1744

. Nouvelle-bibliothèque-germanique-;-première-partie, J. Amsterdam, P. Schreuder, M. Mortier-le-jeune, and . Avertissement, Une lettre à Formey, son associé dans la Nouvelle Bibliothèque Germanique tente par exemple de dissuader ce dernier d'une liaison directe : « Quelle est la nouvelle littéraire que vous avez envoyée à Mortier (libraire d'Amsterdam chez qui paraît la Nouvelle Bibliothèque germanique à partir de 1746) en droiture, je soupçonne qu'elle regarde M. de Maupertuis, comme j'écris presque toutes les semaines à Amsterdam ayez la bonté de me les envoyer à l'avenir, ou Histoire littéraire de l'Allemagne, de la Suisse et des Pays du Nord, par M. Samuel Formey. Juillet, août et septembre 1759, tome vingt-cinquième

, Et même quand Marchand semble avoir renoncé aux périodiques, Pérard insiste pour le sonder et prendre son avis : « M. Formey, las des lenteurs de Beauregard m'a abandonné la direction et la propriété de notre journal, mais il continuera d'y travailler comme ci-devant. J'espère que le T[ome] II P[artie] II qui appartient encore à M. de M[auclerc] paraîtra dans le mois d'août et mon premier volume au commencement d'octobre avec les autres journaux que nous suivrons régulièrement. Quoique vous ayez rompu avec toutes ces sortes de productions périodiques, il faudra vous résoudre à lire celles-ci, Si le procédé envisagé est ici contestable-bien que fréquent-, la participation de Marchand à ces chantiers périodiques est réelle, au point que pour ses correspondants, vol.50, p.51

, Lorsque Pérard semble près de renoncer définitivement, c'est à nouveau vers Marchand qu'il se tourne, Adieu donc tous les journaux, vol.52

B. Leyde and . Universitaire, Lettre de Formey à Marchand, 2 octobre 1741, vol.2

B. Leyde and . Universitaire, , vol.2

B. Leyde and . Universitaire, , pp.25-1746